« Chacun vivait dans son coin… et puis quelque chose est arrivé, nous étions ensemble ! ». Après relecture, les productions sont toutes publiées ici sous leur forme originale. Ensuite nous donnerons à cette littérature collective une forme homogène que vous découvrirez au travers d’une restitution à venir…
Je regardais la télé, je dormais, je pleurais quelque part… Ou bien je restais dehors tout seul… je rêvais tout seul, triste de ne pas avoir d’amis. Ne sachant que faire, il m’arrivait aussi de courir sans personne, de jouer au ballon sans personne… Un jour que j’étais allé au …
Je m’appelle Salif et quand je suis dans mon coin, je reste chez moi… je lis des BD, des romans, des mangas, où bien je construits un bateau en modèle réduit que j’appellerai Le Magellan quand il sera achevé… Je le fabrique avec des morceaux de bois que je trouve …
Chacun vivait dans son coin… et puis quelque chose est arrivé, nous étions tous ensemble ! Ce soir autour du feu dans le « Cantou », mes parents et moi nous regardions le feu crépiter. Une douce chaleur nous entourait car pendant ces longues et froides soirées d’hiver, il faisait bon d’être réunis. …
— Il n’y a pas plus loin que Boissy-Saint-Léger — Il y a ceux de la rive droite et ceux de la rive gauche — Oui, les gens du haut et les gens du bas — C’est facile de se sentir seul(e) — Surtout si on est en fauteuil roulant …
Chacun vivait dans son coin, d’un côté la ville de l’autre la campagne, la ville divisée elle-même en quartiers, la campagne aussi était morcelée en cantons… Quant aux pays ils ne se comptaient plus depuis la division de grandes puissances dans lesquelles des soulèvements politiques ont abouti à l’indépendance. …
En arrivant à Harmonie Il n’avait pas encore d’amis, Il se trouva seul dans son coin Ne cherchant pas à voir plus loin. Mais en allant au réfectoire, Il eut, quand même, quelques espoirs, Parmi tous ces pensionnaires, Des amitiés pourraient se faire. Il rechercha à qui parler …
Dans les pays chauds et dans les pays pas chauds, chacun vivait dans son coin, avec sa timidité, son incapacité à se dépasser sans le secours des autres. C’était pire encore dans les grandes villes, où les gens ignoraient leurs prochains, indifférents à tout autre qu’eux-mêmes. Il y en a …