Le Théâtre du Menteur : de l’art et la manière de se faire des histoires

Le Théâtre du Menteur : de l’art et la manière de se faire des histoires
Le Théâtre du Menteur : de l’art et la manière de se faire des histoires

Quelques lignes à l’intention de ceux qui aimeraient savoir ce que nous fîmes, ce que nous faisons et ferons…



Créé en 1987, le Théâtre du Menteur, à travers l’écriture de son auteur en scène (voir François Chaffin), cherche à donner une vision singulière, métaphorique et sensitive des liens généreux et destructeurs qui relient entre eux les hommes, et les hommes avec le monde… Les spectacles créés trouvent ainsi formes dans l’alliage des genres et des technologies au service d’une narration sensible et mal élevée, où l’adresse au spectateur s’opère depuis notre statut d’êtres pensant et agissant, réels, afin d’espérer entrer plus directement au cœur de son intimité et de sa réflexion.

Animé par un collectif d’artistes associés depuis plusieurs années aux décisions organisant la vie de la compagnie, le Théâtre du Menteur s’est beaucoup développé en co-construisant avec des théâtres ou des territoires des projets artistiques exigeants et réactifs, où créations, ateliers et tentatives poétiques articulaient notre désir d’être au plus proche des citoyens.
Implantée depuis ses origines en Essonne, la compagnie a également obtenu la direction artistique de plusieurs lieux de création, dont les plus emblématiques sont le Théâtre de Bligny (de 2004 à 2009) et La Cavalerie (depuis 2010).

Consubstantiellement à ses créations, la compagnie développe, dans le cadre de ses implantations et tournées, un travail de partage avec les publics, par l’invention de formes issues de fabriques d’écriture, de jeu et d’images visuelles et sonores. Restituées le plus souvent en première partie des représentations, investissant les territoires d’accueil en amont, ces ateliers et/ou cafés à écrire et à jouer offrent aux participants amateurs une approche réactive et sincère des thématiques abordées par les spectacles et une confrontation inventive avec notre équipe artistique.

L’activité de la compagnie est suivie, filmée (et aimée !) depuis des années par les atypiques et nonobstants helvètes cinéastes de La Pitrerie…

Implantée dans le département de l’Essonne, d’abord à Wissous, puis à Longjumeau, en charge de la direction du Théâtre de Bligny (au cœur de l’hôpital du même nom, dans le Pays de Limours) jusqu’en 2009 (voir nos archives du Théâtre de Bligny), la compagnie développe depuis 2010 un travail d’implantation sur le territoire de la Communauté de Communes du Val d’Essonne (voir La Cavalerie), et des cycles d’actions culturelles et de résidences artistiques à la Maison d’arrêt de Fleury-Mérogis (voir les Correspondances panoptiques).
Pendant 3 ans (de 2011 à 2013), le Théâtre du Menteur a été en résidence sur les villes d’Arpajon, La Norville et Saint-Germain-lès-Arpajon (voir Résidence en Arpajonnais). François Chaffin a été artiste associé à la Scène Nationale de Dieppe (voir DSN 2011-2012) et a eu l’honneur d’être associé au Théâtre Kaze de Tokyo pendant trois années.
Le Théâtre du Menteur a évolué en 2010 pour se structurer en un alliage de plusieurs collaborateurs, couvrant toutes les nécessités artistiques, techniques et administratives de ses projets. Voir l’équipe

Le Théâtre du Menteur est soutenu par :
la Direction régionale des affaires culturelles d’Île-de-France – Ministère de la culture et de la communication,
la Région Île-de-France,
le Conseil départemental de l’Essonne
et les partenaires de création.


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