Ce 3 avril, au (petit) théâtre de la Cavalerie, nous avons tenté, avec vous, spectateurs-lecteurs, et avec une indécente ferveur, oui, d’arracher la joie aux jours qui filent, faisant nôtre le vers de Maïakovski. (cf notre annonce de la Ruée #7)
Nous étions une vingtaine, venus chacun avec nos textes,…
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